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« Avec trois enfants, les albums et livres-souvenirs sont devenus très chronophages à réaliser…sans parler de la quantité de photos dans mon téléphone ! »

En 2022, Élodie est devenue maman de son troisième petit bout, Sacha. Elle confirme alors une problématique qu’elle a vu apparaître dès son deuxième bébé : le manque de temps pour les albums et tous les souvenirs relatifs à la famille, à la croissance de ses bébés. Revenons sur les différentes tentatives et essais, les formats plus ou moins adaptés et enfin… imaginons le produit rêvé des mamans !

Le souhait de transmission est essentiel, et il est déjà un défi à relever

“Pour moi, c’est important de garder des souvenirs, premièrement parce que je veux qu’ils aient une trace – là, ils sont bébés et ne se rappellent pas de tout –, qu’ils puissent voir plus tard ce qui s’est passé, ce qu’ils ont vécu, pouvoir en parler avec eux. Et pour moi, pour que je puisse m’émerveiller quand je regarde ces souvenirs avec eux ou toute seule. Ça fait remonter plein d’émotions et de souvenirs, que j’avais oubliés. »

« Avec trois enfants, c’est devenu compliqué de se souvenir de chacune des anecdotes, de ne pas se mélanger les pinceaux, de se souvenir de tout. Les albums sont le seul support que j’ai trouvé, ils me permettent de m’appuyer sur du réel, des photos et des mots qui me rafraîchissent automatiquement la mémoire.”

“C’est important, mais c’est une charge de travail, c’est beaucoup de logistique, et les outils et applications que j’utilise ne sont pas très intuitifs. C’est une charge mentale aussi ! À chaque fois que je prends des photos, ça me trotte dans la tête et je me dis qu’il faudra les faire imprimer. Ce n’est pas du tout agréable de penser à ça alors que je suis en train de passer un chouette moment avec mes enfants.”

Avec trois enfants, les albums et livres-souvenirs sont devenus très chronophages à réaliser.

Le téléphone et les albums photos, une démarche de longue haleine

Comme beaucoup de mamans, Élodie utilise son mobile pour prendre des photos de ses enfants : facile à dégainer, facile à paramétrer, on ne cite plus les avantages de ces outils à glisser dans la poche.

Le problème réside ailleurs : en prenant les photos sur son téléphone, ou celui de son conjoint lorsque le sien est inaccessible, on multiplie déjà les sources ! Sans parler des photos prises par les proches et envoyées via e-mail ou ailleurs. Récupérer, trier et télécharger tous ces éléments est laborieux, et l’on oublie vite certaines photos dans un coin caché d’une discussion WhatsApp.

Ce procédé implique aussi de faire imprimer les photos d’abord… et oui ! Pour les coller ensuite dans son album, la première étape est de les sélectionner, de prendre garde aux doublons, d’imaginer à peu près le récit chronologique de son album… Bref, un effort de projection fatigant et vraiment chronophage. À vue d’œil, on ne connaît ni les dates, on se perd dans le fil chronologique des diverses sources, que l’on doit ensuite transférer sur son ordinateur pour les faire imprimer sur les outils en ligne… Qu’on ne s’étonne plus si l’on remet cela à plus tard ! Un comportement encouragé par les offres d’impression qui nous incitent à imprimer beaucoup de photos d’un coup. “On verra plus tard, c’est bien si j’ai plus de 400 photos à imprimer !”

Une démarche qui relève plus d’une activité contrainte que du plaisir de se replonger dans les moments forts de la vie de son bébé.

Dans la réalité ? On aura tendance à annoter avec de petits mots et étiquettes les premiers albums de son premier enfant, lorsque les souvenirs sont encore frais, puis on oubliera avec le temps, car le temps file et la vie de parent est parfois terrassante. On abandonnera alors l’ordre chronologique et on collera les photos dans un album, au moins “on les a”.

Les parents doivent s’imposer une discipline dans un moment qui mélange nostalgie, émotions et souvenirs. Difficile d’être dans le moment présent lorsqu’on y injecte un cadre si limitant.

Aucun outil n’a encore été à la hauteur de ce challenge, les parents s’adaptent tant bien que mal et, lorsque la discipline devient trop pesante dans leur quotidien, ils abandonnent ! Et ils ont bien raison, qui pourrait tenir tous ses objectifs ?

Le livre de naissance, un pour chaque bébé (et aucun n’est terminé !)

“Évidemment, j’ai un livre de naissance pour chacun de mes enfants ! On me les a offerts à chaque fois. J’avoue que j’ai toujours trouvé ça contraignant, je ne l’aurais pas acheté moi-même. Ou peut-être pour ma première… Avec du recul et trois enfants, je peux assurer que c’est un support trop limitant, pas du tout flexible, et puis surtout… on voit bien quand on ne l’a que peu ou pas rempli. Aujourd’hui, quand mes enfants tombent dessus, je n’en suis pas fière. Ils ne sont pas assez complets pour être montrés, mais je ne m’imagine pas les jeter non plus. J’ai dû découper des photos de mes grands-parents pour les coller dedans. Si c’était à refaire, je ne le referais pas.”

« À choisir, je trouve que les albums photos, même s’ils sont contraignants dans l’usage, permettent un rendu à peu près joli. Je préfère qu’il n’y ait rien d’écrit, je trouve que c’est très impersonnel. Les idées sont inspirantes, mais le fait que tout le monde ait le même me gêne un peu. Je suis sensible à l’esthétique, mais le plus important pour moi est l’histoire que je transmets à mon bébé.

Le livre de naissance est souvent vu comme le cadeau de naissance idéal. La réalité est tout autre et, tel qu’ils sont aujourd’hui, les livres de naissance ne correspondent pas à l’usage des parents. Dès lors qu’un deuxième enfant entre dans la famille, le schéma est encore plus visible : le livre de naissance est à peine commencé, puisque celui du premier enfant a été abandonné. Et puis, que faire des photos uniques des arrière-papys et mamies déjà collées dans le premier ?

Les avis sont unanimes : sur le papier, le livre de naissance à remplir a tout pour séduire, mais dans les faits, il s’oublie dans un coin, et l’on préférera créer des souvenirs via son téléphone de manière plus nomade et flexible.

Avec du recul et trois enfants, je peux assurer que c’est un support trop limitant, pas du tout flexible, et puis surtout… on voit bien quand on ne l’a que peu ou pas rempli.

Les livres photos sont efficaces, pour un usage plutôt événementiel

“J’ai fait des livres photo depuis une application mobile, bien que je ne me sente pas à l’aise avec le téléphone et les outils mobiles. J’ai découvert une mécanique de création hyper simple, mais un peu déshumanisée. Je trouve ça très pratique pour les souvenirs de vacances ou un album thématique, par exemple, mais cela reste un support qui ne transmet pas vraiment une histoire.

Ce que j’aimais faire, par exemple, dans les albums photos, c’était d’ajouter de petits mots, de petites anecdotes de ce jour-là. C’est un peu idéaliste, mais je trouve que c’est là que le souvenir prend vie et que l’on arrive à se remémorer l’émotion. Je pense que mes enfants, plus tard, auront aussi cette sensation. C’est ça que je cherche.”

“Le produit idéal n’existe pas ! Cela dépend de ce que l’on souhaite transmettre à son bébé”

Élodie s’est prêtée à un jeu avec Chillhood et a imaginé le produit de ses rêves. Évidemment, il ne conviendra pas à tous, car il y a autant d’approches de la transmission qu’il y a de parents, mais essayons tout de même !
Voici ce qu’il est ressorti de ses petites notes, ses idées sans filtre :

Ce que j’aimerais, c’est…

– une application qui prend automatiquement la photo du jour, qui me permet de la classer, de la mettre en page automatiquement et qui, au bout d’un certain nombre de pages, me dit qu’il est prêt à être imprimé.
– l’inverse du livre de naissance : ce n’est pas le livre qui me dicte le récit, il me le suggère, mais je choisis en fonction des photos que j’ai sous la main. Avec ça, on me fait un livre.
– que les livres soient faits automatiquement, par exemple : le baptême de Sacha > un livre est proposé automatiquement, et l’outil a compilé les photos de la journée.
– aussi des tirages, avec agrandissement possible.
– une solution globale pour regrouper tous les supports que j’imprime.
– que le tri chronologique se fasse automatiquement.
– pouvoir rajouter en commentaire une description de l’événement sur sa photo.
– qu’au bout de 20-30 pages, on me propose l’impression de mon livre, qui a été compilé sans que je m’en rende compte.
– qu’on me suggère des idées de photos (“Mon premier bain”, “Ma première dent”) pour ne pas les oublier, sans qu’on me les impose toutefois.
– des rappels dans les premières semaines de vie, en lien avec le timing et l’âge de mon enfant. Il y a tellement de choses au début !

Ce que j’aimais faire, par exemple, dans les albums photos, c’était d’ajouter de petits mots, de petites anecdotes de ce jour-là.

Il y a un peu de Chillhood dans tout ça, non ?

Même si l’on ne coche pas toutes les cases, nous sommes déjà fiers d’avoir su proposer un outil nomade et intuitif pour la création d’un livre-souvenirs 100 % sur mesure et modulable. Nous travaillons à l’amélioration du parcours de création pour que notre application devienne un véritable assistant à votre service : toujours là pour vous aiguiller et vous suggérer des pages, sans jamais vous submerger d’informations.

Découvrez bientôt une nouvelle version de l’application, encore plus pratique qu’avant ! Vos Chillbooks resteront 100 % sur mesure pour raconter l’histoire de votre bébé au plus près de votre quotidien. Vous pourrez construire une collection complète en un clin d’œil et vous replonger dans tous ces précieux souvenirs que vous chérissez tant.

Stay tuned !

Nous travaillons à l’amélioration du parcours de création pour que notre application devienne un véritable assistant à votre service : toujours là pour vous aiguiller et vous suggérer des pages, sans jamais vous submerger d’informations.